L’acteur, celui que nous mettons en scène n’est pas l’émotif que nous connaissons, et qui au paroxysme de son jeu se laisserai saisir par un esprit qui contrôlerai son jeu en complicité avec la muse inspiratrice. Nous avons crée ici un acteur conscient, et qui comme tout artiste est le principe dissident de la vie. Non pas qu’il s’oppose chaque fois à la vie, mais trouver des voies différentes d’expression, et dans le cas présent des mouvements, des cris, des gestes hautement physiques, et surtout détachés. Ce n’est pas un langage avec le corps, mais c’est un langage avec le corps et le vide, un langage avec l’énergie et le souffle qui s’écrit sur le livre du corps.
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